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La Chaire de recherche en neuroscience cognitive pour l’éducation dès la petite enfance

Par son arrimage avec l’infrastructure du P’tit Labo, la Chaire de recherche du Canada en neuroscience cognitive pour l’éducation dès la petite enfance (2024-2029), dirigée par la Pre Lorie-Marlène Brault Foisy, vise à développer des connaissances inédites en neuroscience cognitive pour l’éducation dès la petite enfance et à faciliter leur transfert en vue d’améliorer la qualité des services éducatifs offerts.
 

Trois axes chapeauteront les différents
projets qui y seront menés :

1

Processus cérébraux des premiers apprentissages

Les activités de recherche de cet axe visent à générer des connaissances fondamentales et nouvelles quant aux dimensions cérébrales des premiers apprentissages. Pour ce faire, il regroupera des projets ayant recours à différents outils de mesure, tels que l’électroencéphalographie et la pupillométrie, afin d’identifier les mécanismes cérébraux des premiers apprentissages.

2

Mise en relation des niveaux cérébral et comportemental

Certains processus cérébraux sont de puissants prédicteurs de la réussite éducative présente et future de l’enfant, d’où la pertinence de chercher à suivre leur développement de manière assurée et efficace. Ce 2e axe vise donc à mettre en relation les données issues de l’axe 1, avec des données comportementales plus traditionnelles ainsi qu’avec des données d’observation collectées en contexte éducatif. Cette mise en relation s’avère cruciale afin d’identifier des indicateurs observables, qui sont les manifestations comportementales les plus typiques des processus cérébraux étudiés.

3

Interventions éducatives adaptées au fonctionnement cérébral du jeune enfant

La littérature scientifique discute de nombreuses approches pédagogiques susceptibles de favoriser le développement et l’apprentissage de l’enfant. Découlant des deux premiers, ce 3e axe vise à élaborer et évaluer des interventions éducatives prenant ancrage dans un curriculum de la petite enfance, en examinant leurs effets, tant sur le plan comportemental que cérébral. Les résultats pourront faire émerger des pistes d’intervention susceptibles de favoriser la réussite éducative ultérieure des enfants, peu importe les environnements desquels ils sont issus.